samedi 23 novembre 2013

Chapitre 1 de "Vyborg" de Loli'Blom

Bnojour à tous ;)))
C'est Loli'Blom ^^ Ca fait un petit bon moment que je suis pas venue et que je n'ai rien posté :s

Me voila de retour en force !!!

Alors, pour l'instant je ne sais pas encore comment appelé mon roman ... Alors pour l'instant ça sera Vyborg ^^

 Vyborg

Chapitre 1 : Toutes les histoires ont un commencement et la mienne c’est en 1600 après J.C.
Dans une ancienne bâtisse, une vieille dame aigrie donnait des ordres à ses pensionnaires :
« Vous devrez faire bonne figure devant le couple royal et leur fils ! »
Après avoir fixé un à un ses pensionnaires, Dame Ingrid leurs demanda d’un œil suspect où était passé Mélissandre. Seul le silence lui répondit.
A ce moment, un domestique entra en trombe dans le salon et cria :
« La famille royale est là ! »
Le silence pesant se transforma alors en brouhaha. Tandis que les jeunes filles vérifièrent que leurs robes n’avaient aucuns plis et rangèrent leur mèches rebelles dans leurs nattes, les garçons redressèrent la tête afin d’être peut être choisi comme valet royal.
« SILENCE ! » - cria la vieille directrice.
Les orphelins se mirent alors en ligne et quand la porte s’ouvrit, ils s’inclinèrent tous devant la famille royale. La directrice leur fit la révérence avec difficulté et s’inclina de son mieux puis les emmena visiter l’orphelinat.
            Au moment où Dame Ingrid ouvrit la porte de la salle de couture, elle resta muette de stupeur et de honte. En face d’elle, la fenêtre était ouverte et une jeune fille rousse et aux yeux bleus azurs qui brillaient dans la pénombre de la pièce, rentrait au même moment de son escapade.
            Dame Ingrid reprit enfin ses esprits, attrapa la fautive et la tira à terre. Enchainèrent vociférations et insultes et enfin un soufflet si fort que la marque resta et que la Reine y retint un hochet. Cependant le couple ricanait et tandis que le Prince détaillait Mélissandre qui se fit entraîner dans une pièce munie de barreaux aux fenêtres.
« Excusez cette … cette insolente, elle est un peu… un peu dérangée depuis la mort de ses parents, il y a déjà douze ans. »
            La visite s’ensuivit sans autres anicroches et la famille Royale rentra chez elle.

            Une semaine plus tard, Mélissandre ne mangeait plus de pain sec et était de nouveau libre. Elle retournerait dans son dortoir qu’elle partageait avec les autres orphelines de son âge cependant elle était de corvée de remplacer le bonne qui occupait l’entrée attendant une nouvelle venue étant donné qu’elle était souffrante.
            Ce jour là, le Prince Fulbert venait choisir son valet personnel à l’aide de son professeur de lettres. La cloche d’entrée sonna et Mélissandre attacha ses cheveux dans un chignon négligé et alla ouvrir. Stupeur et surprise pour eux deux. Stupeur pour Mélissandre qui ne pensait jamais revoir le Prince ou quelque membre de la famille Royale et stupeur pour le Prince qui s’attendait à voir la vieille bonne et non la fille qui avait marqué son esprit. La jeune orpheline fit la révérence maladroitement et lui montra le chemin pour le bureau de sa directrice sans une parole.
            Le Prince remarqua le gène et s’aperçut que lui aussi était gêné. Il entra dans le bureau de Dame Ingrid et expliqua la raison de sa venue. Mélissandre fut alors chargée d’appeler tous les garçons voulant servir la famille Royale. Ils vinrent et se présentèrent, racontèrent ce qu’ils savaient faire quand enfin le professeur conseilla à son Prince Leopoldo : le meilleur ami de Mélissandre. Quand Leopoldo redescendit avec sa petite valise, il étreignit si fort Mélissandre qu’elle en lâcha le lourd registre qu’elle avait dans les mains. Le Prince le lui ramassa et le lui rendit, l’orpheline le reprit, tête baissée en soufflant un faible « Merci » et dès lors, le Prince, son professeur et Leopoldo partirent dans le carrosse garé devant l’orphelinat.

            Mélissandre n’était encore pas remise de l’aide du Prince quand Dame Ingrid la sermonna et l’envoya aux cuisines. Elle souffla et alla rejoindre les moqueries des cuisinières et les servantes. Oui, l’orpheline se demandait comment elle allait survivre sans son meilleur ami, le seul qui la comprenait, le seul qui était son ami. Mélissandre n’était pas appréciée dans cet orphelinat bien qu’elle ne soit pas vilaine. Ses longs cheveux roux flamboyants lui descendaient dans le dos et ses yeux bleus d’un azur tellement perçants que dès fois on se demandait si ce n’était pas une sorcière. Elle n’était pas grande pourtant pas petite, elle avait des taches de rousseurs qu’elle n’aimait pas tant que ça, mais Leopoldo les adorait et la taquinait souvent sur cela. Qui allait l’embêter maintenant que Leopoldo était parti ?
            La grosse patronne des cuisines la regarda d’un œil vicieux, lui jeta un tablier à la figure et l’ordonna de faire les gâteaux. Alors qu’elle préparait la pate devant la fenêtre, la calèche s’ébroua et Mélissandre se retrouva seule au monde.


Alors quelques avis ? ;) 
Loli'Blom, qui compte poster un chapitre par semaine ;) 

            

samedi 9 novembre 2013

Nail-Art Kawaï de Psyco'Blom

Bonjour, un article Nail-Art pour aujourd'hui. J'ai décidé de vous montrez quelque chose de mignon (Kawaï en japonais). voici donc un Nail-Art à coeur et à cupcake :

Voilà, c'est un peu complexe à réaliser mais il y a un tuto sur le blog de Pshiiit.
Bye